Son nom est moins connu. Mais il incarne peut-être à lui seul tout le charme d’Angkor : un temple en ruine enchâssé dans la jungle.
Les racines des fromagers, ces arbres géants, enserrent, soutiennent, disloquent une à une les pierres assemblées par l’homme.
Puisque ce temple est celui qui est le plus proche de l’état dans lequel les archéologues ont découvert Angkor à la moitié du XIXème. C’est pour rendre cet aspect que je vous livre les photos suivantes. Se sera votre consolation. Consolation de ne pas avoir ressenti le souffle de la forêt environnante, de n’en avoir pas tâté le pouls.
Au XIIème siècle ce monastère du roi abritait quelques 260 divinités servies par 12640 personnes vivant toutes dans l’enceinte de 60 ha de cette ville dans la ville. Les dignitaires mangeaient dans une vaisselle en or, dormaient dans des draps de soie. La tour centrale croulait sous les pierres précieuses.
Toucherait-on du doigt ici plus qu’ailleurs, le concept Bouddhiste de l’Impermanence ?
4 mars 2010 at 17:30
C’est tout à fait remarquable et sublime. Je vous envie vraiment de visiter, de toucher du doigt de telles splendeurs et de plus vous prenez tout votre temps pour le faire. Y’a de quoi rêver. En tous les cas, merci de nous faire partager votre aventure du bout du monde.
6 mars 2010 at 17:22
MAGNIFIQUE !!!!!!!