génération spontanée

La fin de la saison des pluies signifie la fin des flaques d’eau, voir des mares qui se sont créées sur notre route chocolat.

Nous y passons à vélo, et que voyons nous ?
Des dizaines de poissons qui sautent hors de l’eau, s’échouent à côté de la flaque, qui elle disparait lentement, asséchée par le soleil.

Pauline lance aussitôt l’opération  » sauver les poissons de la route chocolat »
Et avec Sophal en tête, nous voici à aller à la pêche aux poissons avec à la place d’épuisette des égouttoirs à salade !




Nous en avons donné beaucoup à Sirivan qui a un grand bassin devant chez elle, et nous en avons mis « chez nous » dans ce gros pot, ils mangeront les moustiques.
De plus Pauline s’est déclarée être : »la Sophal des poissons ! » Autrement dit, elle veut en prendre soin et les nourrir chaque jour.

A savoir aussi que notre activité de « sauvetage des poissons » n’est pas resté inaperçue longtemps. Des voisins khmers ont surgi avec des seaux, pour en récolter un maximum. J’imagine à des fins gustatives

Un proverbe cambodgien dit « quand il y a de l’eau il y a des poissons ! »
Nous nous tournons l’esprit dans tous les sens.
D’où viennent-ils ?
Qui sont-ils ?
Combien sont-ils ?
Il n’y a pourtant pas de rivière proche. Pasteur aurait t’il eu tord finalement ?
Il y aurait au Cambodge des générations spontanées possibles !
La preuve par cet article.

laSof

Posté le 26 décembre 2012 par dans Cambodge

Une réponse to “génération spontanée”

  1. karine :

    14 janvier 2013 at 17:17

    tiens j’ai justement vu un superbe reportage de la bbc (vraiment trop forts ces anglais)
    et j’ai apprris que la mousson se formait dans les hautes montagne sde l’himalaya
    mais ça n’explique qd même pas ce que ces poissons faisaient là. ça me fait penser à l’été dernier. après une pluie diluvienne, je faisais brouter ma cari lorsque je me uis rendue compte que l’herbe était parsemée de petites grenouilles. il avait vraiment plu des grenouilles!!!